Mardi 21 août
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20:17
Les plaisirs solitaires ne devraient pas être tabous, bien au contraire.
J’y ai goûté très jeune et depuis, je continue et je ne suis pas prête de m’arrêter.
D’autant plus que c’est un bon moyen d’apaiser les tensions sexuelles entre autres choses.
Je dois dire que j’aime sentir le contact de mes doigts entre mes cuisses. Je ne vois pas pourquoi on n’ose avouer prendre du
plaisir. Je trouve qu’il est important pour nous les femmes de se caresser. Je me doute bien que je ne suis pas la seule dans ce cas là.
Les hommes ont cette pratique depuis des lustres. Seulement pour nous autres les « faibles femmes » (expression qui me
fais doucement glousser) je ne vois pas pourquoi durant des siècle ce fut un pêché de lès majesté que de se procurer son propre plaisir !
Pour moi c’est à peu prés le même rituel, je me laisse déborder par mes mots ( qui
sont nombreux et qui ne me laisse quasiment pas tranquille) et mes rêveries me conduisent aux portes du sanctuaire. Doucement je glisse ma main…elle se faufil sous mon string (lorsque j’en
porte un … car j’aime dormir en général dormir nue un vestige de mon passé) et débute une danse diabolique. Mon corps devient braise… Je pense à Hadès (bien sure) il sait me conduire là où peu
d’hommes m’ont conduites.
Je débute ce ballet doucement bien entendu … j’aime et vénère la lenteur. Et puis tout s’accélère, mon corps tout entier devient
incontrôlable. Ma respiration devient plus saccadée et je perds toute notion de réalité. Et lorsque je reprends pied, je suis certes épuisé mais comblé.
En présence d’une autre personne, c’est autre chose et même s’il m’arrive ( à
l’occasion de me caresser devant elle ; je préfère être seule dans mon lit quand je me caresse.
Il m’est arrivé une fois ( il y a 2 ans environ ) j’étais des plus excité pour je ne sais quel raison je me suis livré à mes doigts
dans un train. Il y avait un homme sur la même rangée que votre hôte. L’envie était trop forte pour y résister. Mon orgasme fut hallucinant je ne sais si c’est le fait d’être découverte par cet
homme ou le fait que je le fasse en dehors de mon domaine ; en tout cas c’est un souvenir qui m’est rester.
Je dois dire qu’en ce moment et vue dans l’état dans lequel je me trouve il est
étrange que je n’ai pas encore tenter l’expérience de me procurer du plaisir à l’extérieur de mon sanctuaire. Qui sait peut-être cela viendra-t-il ?!
Je n’ose imaginer ce qu’il en résultera…
Amat qui scribet, paedicatur qui
leget
Sex vox dominam
Clytie